On est ce qu’on mange et boit

Cela a été dit 10000 fois. Mais ce n’est pas si évident à comprendre à l’ère des « tout est dans ta tête ou dans ton cœur ».

Oui l’esprit a une force gigantesque. Les émotions aussi. Je l’ai assez asséné. Mais il y a aussi des « causes purement physiologiques » dans le corps. Qui elle-mêmes créeront ton ressenti. Je pense à comment on commence sa journée : thé ou café ; déjeuner sucré ou salé ?

La reflexo a été de proche ou de loin influencée par la médecine chinoise millénaire. Les mêmes idées de points et de méridiens qui parcourent le corps et le cartographie. En mai, j’ ai insisté sur certaines émotions refoulées qui restaient coincées dans certains de nos organes selon d’étranges affinités. Exemple, la colère et le foie.

Maintenant il faudra penser l’ inverse. Si des mauvais aliments abîment un organe, celui-ci va créer l’ émotion qui lui correspond. Plus généralement les nerfs peuvent être touchés comme avec la caféine.

Tu seras plus stressée ou potentiellement stressée avec du café avant qu’une cause « mentale » n’intervienne ( exemple, « zut je devais passer chez le médecin ce matin, pas possible ! »).

La viande en excès nous « excite » ou nous rend plus agressive en général. La graisse, elle, détresse mais on en paie vite les conséquences ensuite.

Bref, on connaît tout cela car notre médecine occidentale est basée essentiellement sur des causes physiologiques. Il faut le rappeler à l’ère des théories parfois un peu trop New Age où tout est symbolique et spirituel.

Causes physiologiques et causes mentales s’interpénètrent inlassablement.

Précédent
Précédent

Relaxation et sentiment d’unité corporelle pour les enfants hyperactifs

Suivant
Suivant

Être ZEN dans un monde qui bouge tout le temps ?