Sortons de la spirale infernale
Aujourd’hui, la multiplication des maladies chroniques est en augmentation. Celles-ci touchent tous les organes et concernent les maladies cardiovasculaires et leurs facteurs de risques. Tu les connais : hypertension, athérosclérose, hypercholestérolémie. La liste est longue malheureusement …
Et, je continue pour te faire sentir les enjeux essentiels derrière tout cela.
Il y a bien sûr aussi : le diabète, l’obésité, les douleurs articulaires, les allergies, la dépression, l’insomnie, le syndrome de fatigue chronique, les maladies neuro-dégénératives comme Alzheimer, et Parkinson.
Sans oublier les nombreuses maladies auto-immunes…
Cette situation dramatique de « mauvaise santé publique » conduit à un affaiblissement de notre « terrain » face aux virus et bactéries, mais aussi à une véritable explosion des prescriptions par les médecins !
Regarde les notices pour te convaincre du danger des effets indésirables et des interactions très nombreuses entre médicaments. Malgré tout, les ordonnances s’alourdissent jusqu’à une sur-médication inquiétante.
L’autre gros soucis, c’est le plus souvent l’irréversibilité des maladies chroniques impliquant des traitements à vie, qui aggravent les risques iatrogènes et impactent la qualité de vie des patients.
« Iatrogène » ? Kesako ?
Les maladies iatrogènes désignent l'ensemble des effets néfastes peuvant être provoqués par un traitement médical. On parle d'effets iatrogènes lorsque le traitement déclenche de nouveaux symptômes, distincts de ceux qu'il est censé soigner… La Spirale, je te dis.
Il arrive donc qu’un médicament soit prescrit pour pallier les effets toxiques d’un autre !
Bon, tu me vois venir…
Une meilleure prévention est bien sûr possible, en améliorant l’hygiène de vie, l’alimentation, l’activité physique. J’essaie de t’en parler un maximum dans mes blogs et insta.
Oh, je ne pense pas qu’à ma pratique !
Les méthodes naturelles heureusement résistent contre cette Spirale infernale de la médication: kinésithérapie, acupuncture, acupressure, psychothérapie, yoga, homéopathie, ostéopathie…
Bien sûr, ne tombons pas dans m’extrême inverse. Pour les maladies « aigües », un médicament sera souvent nécessaire.
Mais comme ils disent en Asie, « notre médecine traditionnelle ne soigne pas des maladies, mais des malades dans leur totalité ».
Sur ce, bonne réflexion là-dessus et on en reparle l’année prochaine !